• Je sais pas trop quoi dire.Là c'est sur, on bois trop.Beaucoup trop.

    A. me déstabilise. E. me fait rire. T. est magique. C. est tagguée. N. fait capot. A. c'est ma soeur. C. fait de la merde. C. m'attire. LA. me dégoûte. M. m'éclate. MG. écrit pour moi. L. m'agace. Z. me fait sourire. M. m'intrigue. M. est débile. M. a un rire du tonnere. M. est sympathique. L. me manque. G. m'exaspère. I. je n'en parlerai pas. P. me manque. M. est unique. A. est irremplaçable. F. me manque énormément et m'exaspère. T. est une crème. D. est loin. E. est énorme...

    Ahahhh, les gens me manquent.Ma vie est chouette.

    Plus de TESA dans ta vie d'étudiant en détresse. FJTM MAHAHAHhh


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  • tu dois etre un peu jalouse en fait


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  • "Tu a été admise bien sure. Tu a quittée Boston pour ammenager à Paris: un petit appartement dans la rue du Faubourg Saint-Denis. Je t'ai montré mon quartier, mon bar, mon école.
    Je t'ai présentée à mes amis, mes parents.
    J'ai écouté les textes que tu répètais, les chants, tes espoirs, tes désirs... tes musiques.
    Tu écoutais la mienne, mon italien, mon allemand, mon russe.
    Je t'ai donné un walkman, tu m'as offert un oreiller.
    Et un jour tu m'a embrassé.
    Le temps passais, le temps filais et tout paraissais si facile, si simple, libre. Si nouveau et si unique.
    On allais au cinéma, on allais danser, faire des courses. On riais, tu pleurais, on nageais, on fumais.
    Parfois tu criais, sans aucune raison, avec raison parfois. Oui avec raison parfois.
    Je t'accompagnais au conservatoire, je révisais mes examens. Le temps passais, le temps filais.
    Tu criais, je révisais mes examens, mes examens, mes examens.
    J'allais au cinéma."


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  • ce serait le moment de parler.non je ne vais plus bien.déjà


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  • 1792
    le 25 avril

    Hymne national

    Dans le salon du baron de Dietrich, maire de la ville de Strasbourg, le jeune officier Claude-Joseph Rouget de Lisle présente son chant patriotique, composé dans la nuit. D'abord baptisé 'Chant de guerre pour l'Armée du Rhin', il est repris par les fédérés marseillais à leur entrée dans Paris en juillet 1792 et renommé 'Marseillaise' par les Parisiens. Il sera décrété chant national en 1795 par la Convention. Interdit pendant le premier et le second empire, la chambre des députés l'adopte en 1879 : 'La Marseillaise' devient l'hymne national français.


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